Alimentation, et hygiène de vie tout savoir sur les bases de la beauté



Les bienfaits de l’aromathérapie

 L’aromathérapie c’est l’utilisation médicale d’extraits aromatiques de plantes.

« Je découvre un peu plus chaque jour les bienfaits de l’aromathérapie. Je récolte les meilleures informations et grâce aux conseils de mon pharmacien, toute la famille bénéficie de mon expérience, mari, enfants et petits-enfants ». À bientôt 50 ans, Agnès Sellias, documentaliste, a choisi la médecine douce par les plantes pour soigner les maux du quotidien. « Tout est dans la nature qui nous entoure. Il existe une multitude de soins à base d’huiles essentielles, à la lavande, au thym, au romarin ou à la rose pour les massages, dans le bain ou tout simplement diffusées dans l’air. »

aromathérapie-bienfaits

Ces substances odorantes issues de plantes naturelles remportent un vif succès. Il ne s’agit pas vulgairement de « remèdes de bonnes femmes », bien au contraire. Les procédés scientifiques valident désormais les bienfaits de l’aromathérapie : « Nous bénéficions de l’expertise des chimistes, des chercheurs, des pharmaciens et des médecins pour élaborer et valider nos produits 100 % naturels. Avec la force atomique de la plante, à l’heure du bio, l’utilisation des huiles essentielles par les voix respiratoires ou sous forme de crèmes offre une réelle alternative aux soins du corps et de l’esprit », explique Marco Pacchioni, fondateur en 2005, avec son épouse Isabelle, du laboratoire Puressentiel, en passe de devenir le leader européen de l’Aromathérapie.

« À force de rester enfermés dans nos bureaux, nos maisons et nos voitures, notre air intérieur est pollué par les microbes, les acariens, les moisissures et autres allergènes. Nous avons ainsi conçu un spray pour l’air ambiant. Beaucoup de gens ont compris que, comme on fait attention à ce que l’on mange, comme on trie les déchets, on peut faire attention à son environnement et à ce que l’on prend pour diminuer les problèmes respiratoires, soigner les douleurs articulaires, l’acné, réduire la cellulite. L’aromathérapie est bien plus qu’un phénomène car il y a aujourd’hui un vrai changement des mentalités. »

La spiruline, l’algue « magique » : santé et beauté

Connaissez vous la spiruline ? Très peu connue, cette algue possède des vertus incroyables pour la santé et la beauté.

Un complément alimentaire naturel

spirulineReconnue par les ONGs et la médecine, la spiruline est utilisée en Afrique pour lutter contre la malnutrition : en effet le coût de production est faible alors que les gains pour la santé sont importants : seul 2 grammes par jours despiruline peut rééquilibrer l’organisme des enfants victimes de carences alimentaires.

Pour le même coût énergétique sa culture permet d’obtenir 30 fois plus de protéines que l’élevage bovin.

La spiruline est en effet très riche en protéines de qualité (végétales), en fer, en acides aminés essentiels et en antioxydants, la spiruline est le complément alimentaire idéal, c’est aussi la source alimentaire la plus riche en antioxydants !

Un allié beauté

La spiruline permet de lutter efficacement contre le vieillissement de la peau (anti-oxydant), elle concentre également tous les nutriments et oligo-éléments nécessaires à la brillance et à la résistance des cheveux et des ongles.

Elle agit contre l’acné et peut aider à perdre du poids du fait de son action « coupe faim » (contient de la phénylalanine), on lui prête aussi des vertus anti-cancéreuses… bref c’est un aliment à adopter ! 


Les bienfaits cachés de l’ail

Ne dit-on pas « Qui a de l’ail dans son jardin n’a pas besoin de médecin » ?
Véritable révélateur de goût en cuisine, élément indispensable de la gastronomie moderne, l’ail n’en est pas moins un formidable allié de notre santé.

Depuis le début de notre ère, aux alentours de 1 500 av JC, toutes les grandes civilisations ont domestiqué l’ail et ont bénéficié de ses bienfaits. Des bienfaits certes culinaires mais aussi thérapeutiques.

L’ail est reconnu pour ses nombreux bienfaits vertus médicinaux préventifs et curatifs.

L’ail fluidifie le sang.

L’ail contient de l’adénosine. Cette substance éclaircit le sang, favorise la dilatation des vaisseaux et évite la formation de caillots.
bienfaits ail

Des actions anticancéreuses scientifiquement prouvées.

Une étude menée dernièrement par l’INRA a mis en avant le rôle de l’ail dans la prévention des cancers.

Ses composés soufrés ainsi que des substances comme l’ajoène et « l’allicine » exercent un effet préventif contre les cancers digestifs.

Prévention des maladies cardiovasculaires.

En plus de ses propriétés, l’ail concoure à équilibrer le taux de cholestérol.

En effet, les bénéfices de l’ail sur le système cardiovasculaire sont connus depuis longtemps, les esclaves des pyramides égyptiennes prenaient une ration d’ail par jour pour une meilleure résistance.

Partenaire « beauté » et « mange graisse »

L’ail stimule le système immunitaire, fortifie les os et améliore l’état de la peau, des cheveux, des ongles et lutte même contre la cellulite par sa composition riche en vitamines, minéraux et oligo-éléments.

Des effets antiseptiques et anti-inflammatoires

Déjà utilisé depuis plusieurs siècles dans les monastères pour soigner les blessures,l’action antiseptique de l’ail est reconnue aujourd’hui par la science. En effet, « l’allicine » essence contenue dans l’ail bloque deux groupes d’enzymes présentes dans les bactéries. Elle agit sur les piqûres de moustiques et les morsures.

Sans oublier que l’ail est réputé « chasser le mal », à savoir les vampires et les zombies ! Raison de plus pour en avoir toujours à portée de main ! 


20 ingrédients à avoir toujours chez soi

Les lentilles
 : En grains, froides ou en graines germées, elles sont riches en protéines, fibres, fer, vitamines B.
L’avoine : Dans une soupe, un laitage ou cuit façon porridge, il est riche en protéines, en fibres, en lipides à dominante insaturée, en vitamines B.
Le petit épeautre : Se consomme avec viandes, poissons ou avec des légumineuses : en muesli et porridge
pour les flocons. Riche en vitamines B, B5, PP, en magnésium et calcium.
La farine de blé T80 : Semi-complete, elle peut être utilisée seule ou avec d’autres farines (seigle, petit épeautre,
sarrasin…). Riche en germes de blé, en fibres douces et en nutriments.
L’huile d’olive : 2à3 c. à s./jour. Elle contient polyphénols et antioxydants.
L’huile de colza : Assaisonne crudités, légumes cuits, pâtes ou poissons, mais après la cuisson car elle ne doit pas être chauffée. C’est une source de vitamines E et d’oméga-3.
La purée d’amande blanche : (en magasin bio) Elle peut se substituer au beurre, dans une mayonnaise ou dans une soupe. Riche en protéines, calcium, potassium et vitamine B3.
Les figues fraîches et sèches : A manger en collation ou à intégrer dans une salade, un plat, un gâteau… Elles favorisent le transit, comme le pruneau. C’est un concentré d’énergie, de micronutriments et de fibres.
Les pruneaux : Délicieux trempés dans de l’eau de fleur d’oranger, des gâteaux, yaourts… Ils confèrent fibres,
vitamines A, B9, C et oligoéléments.
Le sucre complet : Il est important de le choisir bio. Ses nutriments (potassium, magnésium, zinc, manganèse) lui contèrent sa couleur,
Les « laits » végétaux : Leur composition et leur utilisation varient « Laits » de soja, d’avoine, de quinoa, de noix de coco se marient au sucré comme au salé.
Les algues : En paillettes sur un poisson ou une salade, fraîches avec jus de citron, huile de sésame et herbes…
Elles sont riches en protéines et en vitamines (A. C. P. du groupe B).
Le vinaigre de cidre Bio :, pur et artisanal. Il est partait dans les crudités ou les salades. Ou à raison de 1 ou 2 c.
à c/jour seul ou dilué. Il est source de vitamines (A, B i. B2. C et P). de minéraux et d’enzymes.
L’arrow-root : On extrait de cette plante de la fécule, réduite en poudre. Diluée, elle devient un liant ou un épaississant.
Les sauces de soja : Le shoyu est plus doux que le tamari. Indispensables aux assaisonnements, elles apportent acides aminés, acides gras insaturés, fermenta de la flore intestinale…
Aromates et épices douces : Ils ont des vertus digestives et antiseptiques. Préférez les mélanges sans piment fort
à base de cumin, curcuma, cannelle, coriandre, graines de moutarde…
Sel fin et gros sel non raffiné :Consommer du sel gris, c’est taire une cure d’oligoéléments (magnésium, potassium, calcium). Préférez au sel pur des mélanges avec condiments gomasio (sel et sésame), sel aux épices ou algues séchées (kombu).
Le gomasio : c’est un mélange d1 part de sel marin gris et de g parts de graines de sésame légèrement grillées.
Il est riche en acides gras insaturés, vitamines E, B et acides aminés…
La levure maltée (levure de bière) : est un complément alimentaire naturel. Elle s’incorpore dans les sauces, soupes, purées, yaourts ou sur les salades.

Les thés vert et rouge : De la famille des acacias, le rooibos tire l’appellation de thé rouge de sa couleur ambrée, Infusez un mélange des deux. 


Les sucres alternatifs light : voici comment remplacer le sucre !

LE SIROP D’ÉRABLE : EXOTIQUE ET ANTIOXYDANT

C’est quoi ? Un classique au Canada issu de la sève brute de l’érable.
On en fait quoi ? On en met sur les muffins, pancakes, ou dans une vinaigrette.
L’avis d’une diététicienne : « Riche en potassium, calcium et phosphore, bourré d’antioxydants, cet édulcorant naturel est moins calorique que le miel. »

LE FRUCTOSE : PARFAIT POUR LES SPORTIFS

C’est quoi ? Un sucre d’origine naturelle (fruits, miel), vendu en poudre.
On en fait quoi ? Le même usage que le saccharose.
L’avis d’une diététicienne « Son pouvoir sucrant est supérieur de 30% à celui du sucre, il agit comme un sucre lent, d’où son intérêt pour les sportifs. S’il ménage les dents, il peut provoquer des ballonnements. »

LE SIROP D’AGAVE : NO FRINGALE !

C’est quoi ? Blond clair, il est extrait de la sève d’un cactus mexicain.
On en tait quoi ? On le mélange aux laitages, compotes, crêpes ou pâtes â gâteaux.
L’avis d’une diététicienne : « Composé à 90% de fructose (sucre naturel du fruit), il associe pouvoir sucrant élevé et index glycémique bas : zéro effet sur la glycémie, zéro risque de fringale. »

LE SUCRE INTÉGRAL : PETIT GOUT DE RÉGLISSE

sucre-alternatif-remplacer

C’est quoi ? Le rapadura (son nom brésilien) est un jus de canne à sucre déshydraté au goût de caramel et réglisse.
On en lait quoi ? Il est plus adapté aux compotes qu’aux gâteaux (il se mélange mal) ou au thé.
L’avis d’une diététicienne « Non transformé, non raffiné, le sucre de canne complet conserve tous les minéraux et vitamines B de la canne à sucre. Aussi calorique que le sucre, il a le même pouvoir sucrant. »

LE XYLITOL DE BOULEAU : DEUX FOIS MOINS CALORIQUE QUE LE SUCRE

C’est quoi ? Utilisée dans les pays nordiques, cette poudre est extraite de l’écorce de l’arbre.
On en fait quoi? li convient au café du matin et au yaourt du soir. Gare à la cuisson son pouvoir sucrant augmente du 30 â 50%.
L’avis d’une diététicienne « Sans minéraux ni fibres, il est deux fois moins calorique que le sucre. Non cariogène, il peut cependant entraîner un inconfort digestif.  »

ET LA STEVIA DANS TOUT CA ?

Le rébaudioside A, l’édulcorant naturel issu de la stevia, plante du Paraguay, est autorisé en France dans les produits industriels et comme édulcorant de table depuis 2010. La boisson Fanta Still contient de la stevia, elle comprend 30% de calories en moins. 

Par quoi remplacer la viande rouge ?

 

Quand on aime pas la viande rouge… par quoi la remplacer ?

Par du poisson

Côté protéines, le poisson fait jeu égal avec la viande rouge (18 à 20 g / 100 g). Desprotéines qui contiennent tous les acides aminés dont l’organisme a besoin pour fabriquer et entretenir les tissus. Les poissons gras sont aussi riches en oméga-3, protecteurs du système cardiovasculaire.
Néanmoins, le poisson contient beaucoup moins de fer que la viande rouge: 0,5 mg/100 g contre 3 mg/100 g. Pour éviter les carences, vive les légumineuses (lentilles, pois chiches) pour le fer, les agrumes et les brocolis dont la vitamine C augmente l’absorption du fer.

Par du tofu

remplacer-viande-rougeNon seulement cette pate blanche un peu fade, produite à partir de soja, apporte à l’organisme les acides gras insaturés qui luttent contre le mauvais cholesterol, mais elle contient un peu de fibres et deux fois plus de magnésium que la viande. En revanche, bien qu’il soit concentré en minéraux, le tofu contient moitié moins deprotéines que le boeuf (12,5 g/100 g contre 25 g / 100 g). Pour éviter les carences équilibrez un repas à base de tofu, en le combinant à d’autres aliments protéinés tels que les céréales (pain. riz. pâtes alimentaires), les produits laitiers ou les crustacés.

Par du poulet

Plus maigre que la viande rouge, la volaille est aussi riche en protéines (25 g/100 g) et en vitamine B12 « antianémie » (100 g de poulet = 90% des apports quotidiens conseillés). Cependant, le poulet contient près de trois fois moins de fer que le steak de boeuf et moins de zinc (nécessaire à la croissance et à l’immunité). Pour éviter les carences cherchez du fer dans le poisson, les légumes secs et le chocolat noir (12 mg/100 g). Et du zinc dans les céréales et les poissons gras (sardines, saumon, thon).

Je suis moche


je-suis-mocheCet article inachevé est une sorte de brainstorming de mes pensées et reflexions à propos de ce que l’on nomme couramment la « mocheté » tout cela, sans aucune valeur éditoriale ! :) 
Je suis moche !
 Combien d’entres nous avons déjà prononcé cette phrase lorsque nous nous sommes regardé dans un miroir ?

Je pense n’être pas la seule… alors pourquoi se trouve t’onmoche?

Parfois la mauvaise humeur, les mauvais jours nous poussent à nous trouver moche. C’est parfois une réalité (bien triste et injuste) pour la majorité de la population qui en est juge, c’est parfois un jugement personnel totalement à coté de la plaque.
On peut aussi être moche en ayant un mauvais comportement, en étant méchante ou irrespectueuse, c’est la mocheté mentale!…. qui rend tout aussi moche !
On peut se trouver moche parce qu’on ne s’aime pas… mais parfois on ne s’aime pas car on se trouve moche !
Les critères de beauté que nous dicte notre société à travers les panneaux publicitaires, magazines… sont parfois difficiles à assumer.
Il n’y a pas de beauté absolue, tout le monde peut être moche aux yeux de quelqu’un d’autre et inversement. Si je suis moche pour mon ennemie, je serai sans doute belle aux yeux de ma meilleure amie.
Je pense qu’au fond personne n’est moche, la beauté est là si on veut qu’elle soit là, c’est peut être avant tout une question de comportement et de confiance en soi.
Apprendre à s’aimer, à aimer son physique, faire avec, mettre en avant ses atouts, être ironique avec soi même, garder le sourire, avoir confiance en soi,  oublier les préjugés et les critiques, avancer, faire ce qui nous plaits… sont peut être des remèdes pour se sentir plus belle, ou du moins apprendre à oublier que nous sommes peut être à l’origine moins chanceuse que d’autres à ce niveau et profiter tout simplement de la vie !

N’hésitez pas à commenter cet article :)

Allégé, 0%, léger, light… : ça veut dire quoi concrètement ?


L’appellation « Allégé »

allegé-light-0-legerLe terme « allégé » répond à des critères définis avec obligation d’indiquer le taux de réduction de graisses et/ou de sucre sur l’étiquette.
Un produit peut se doter de l’appellation allégé lorsque sa teneur en nutriments (sucres, matières grasses…) OU sa valeur calorique est réduite d’au moins 25 % en poids par rapport à un produit de référence.
De plus la dénomination « allégé » est réservée à un aliment destiné à une alimentation courante. Il ne peut donc pas revendiquer d’indication relative au régime ou à l’amaigrissement sur son étiquetage.
Concrètement, les mentions « allégé en sucre » ou « allégé en matières grasses » doivent figurer sur l’étiquetage avec la proportion de l’allégement.

L’appellation « 0% »

Cette appellation signifie que le produit contient 0% de sucres ou 0% de matière grasse. Cela ne veut pas dire qu’il est moins calorique que le produit similaire non « 0% ».

Les appellations « Light » et « Léger »…

Les produits avec les termes « light » ou « léger » ne font l’objet d’aucun contrôle et sont seulement des arguments commerciaux. La vraie question est de déterminer si le produit est vraiment moins calorique, s’il est allégé en graisse ou en sucre…

Allégé en quoi ?

La loi n’impose pas un allégement calorique global et offre aux fabricants l’alternative entre nutriments et calories. Ainsi, « 0 % de MG » ne veut pas dire « 0 % de calories ». De même, « allégé en sucres » ne veut pas dire « allégé en calories »…
Dans cette optique un yaourt aux fruits allégé peut être aussi calorique qu’un yaourt nature : certains produits allégés en sucre ne l’ont pas été en graisses, bien au contraire. Autre exemple : certains chocolats à teneur réduite en sucres dont l’apport calorique est identique à un chocolat normal.

L’étiquette nutritionnelle : elle seule peut faire la différence

Pour éviter les mauvaises surprises et connaître la composition des produits, il convient de lire attentivement les étiquettes en essayant de les comparer avec des produits classiques. 

Pourquoi aurons-nous toutes, ou presque, un cancer ?

Le constat est affligeant concernant les chiffres du cancer

cancer-chiffres-alimentationSelon les données publiées en Février 2008 par l’INVS, l’Institut de veille sanitaire, le nombre de cancer a doublé entre 1980 et 2005, soit une augmentation annuelle moyenne de 2%.
Toujours selon l’INVS le nombre de nouveaux cancers diagnostiqués ne cesse d’augmenter :
- en 2009 : 346900 nouveaux cas de cancer ont été diagnostiqués
- en 2010 : encore 357700 nouveaux cas (+3,11% par rapport à l’année précédente)

La nouvelle génération est donc de plus en plus sujet à développer un cancer… le nombre de jeunes malades ne cessant de croître depuis trente ans en Europe ! Notre risque de développer un cancer est de plus en plus probable voire inévitable !

Actuellement 43 % de la population française risque de développer un cancer au cours de sa vie, ce chiffre ne cesse d’augmenter.

Selon les cancérologue, voici la principale raison de ce fléaux : les pesticides dans l’alimentation

Les cancérologues accusent la pollution chimique (pesticides) d’être responsable d’une grande majorité de cancer.
L’INVS a publié très récemment une enquête qui a révélé que les Français ont plus depesticides dans le sang que les Allemands et les Américains. Cette étude compléte un rapport publié en décembre dernier par l’association Générations Futures (ex MDRGF, Mouvement pour les droits et le respect des Générations Futures), qui avait déjà révélé une contamination généralisée des organismes des Français par des substances cancérigènes dans le cadre de leur campagne intitulée « Environnement et cancer ».

Que faire pour limité les risques de cancer lié à l’alimentation ?

Peut être devrait-on se mettre à la consommation de spiruline, algue réputées pour ses effets contre le cancer ?
Sinon, commençons par laver et et éplucher les fruits et légumesqui est une bonne habitude, même si d’après certaines études il pourrait se révéler insuffisant voire inutile.
D’autre part, la meilleure façon de s’alimenter sainement reste la consommation de produits locaux (moins de transport équivaut à moins d’utilisation de produits chimiques), de saison et de préférence issus de l’agriculture biologique, laquelle garantit des produits sains et sans engrais chimiques nocifs pour la santé et pour l’environnement. Un atout qui est devenu inestimable.

 

 Tout ce qu’il faut savoir sur les Cures detox


Adopter les bons principes


A table

  • Mangez tiède, c’est la température la plus douce pour les intestins. Si vous souffrez de maux de ventre, éliminez les légumes crus. La cuisson idéale ? Al dente, pour garder les vitamines, les minéraux et la texture légèrement craquante.
  • Servez les légumes (poireaux, carottes, chou-fleur) arrosés d’un filet d’huile de noix (riche en omégas) avec du vinaigre de cidre et de la moutarde à l’estragon ou aux orties.

Que boit-on ?

  • De l’eau : plate ou peu minéralisée comme la Mont-Roucous, mais aussi de la Volvic, de l’Evian.
  • Du thé vert, antioxydant.

Dans l’assiette

  • Pour éliminer : avocats, bananes, kiwis, pommes, oignons, courgettes, tomates, céleri.cure detox
  • Pour stimuler le foie : persil, menthe, artichaut, concombre, huile d’olive.
  • Pour apporter des protéines : blé dur, quinoa, riz complet, épeautre. Supprimez les graisses, la viande rouge, le café, l’alcool, les sucres rapides ainsi que riz, pâtes et pain blancs.
  • Plus c’est bio, mieux c’est : privilégiez les aliments cultivés sans pesticides ni engrais. Mais les légumes maraîchers tout frais cueillis achetés sur le marché feront aussi l’affaire.
  • Remplacez le sel, qui favorise la rétention d’eau, par du piment d’Espelette – il rehausse le goût des légumes et des viandes blanches comme le blanc de poulet – ou par du poivre blanc (issu du poivre noir dont on a enlevé l’écorce).

Des tisanes pour tous les cas

Mieux digérer
Associez le calament, sorte de petite menthe sauvage, au thym qui, en plus d’aider la digestion, a des vertus antiseptiques et stimulantes : calament (calamintha officinalis), 25g + thym (thymus vulgaris), 25g.

Se détendre
La mélisse et la passiflore apaisent les spasmes intestinaux : mélisse, 25g + passiflore, 25g.
Drainer

Des feuilles d’artichaut et de la piloselle. Pour en atténuer le goût modérément agréable, ajoutez du romarin : artichaut 25g + piloselle, 25g + romarin, 25g.

Préparation
Prenez 1 cuillerée à soupe et demie du mélange, versez dans un demi-litre d’eau froide. Portez à ébullition, retirez du feu, laissez infuser 10 à 15 minutes, filtrez et buvez toute la journée.

Améliorer la digestion

Au bouleau, la digestion !
Il stimule la digestion et les reins. De plus, il est tonifiant car il contient de la vitamine C et des phénols. Utilisez-le en cure aux changements de saisons sous forme de :

  • sirop : grâce au surcre de canne et au miel, le sirop de bouleau est meilleur que le jus classique, assez âpre. 1 cuillerée à soupe dans un verre d’eau, 3 fois par jour. Weleda, 8.30€.
  • gélules : deux le matin, deux à midi et deux le soir au moment des repas. Arkopharman : 5.80€, en pharmacie et parapharmacie.
  • ampoules : une par jour dans un demi-verre d’eau, de préférence avant le repas. Superdiet, 11€, www.superdiet.fr

Cocktails tous azimuts

  • Dans ce tout-en-un, le radis noir stimule le foie, la reine-des-prés s’occupe des reins, la bardane purifie la peau, l’aloe vera se charge des intestins et le thym des poumons. On avale et on laisse le corps réagir. Drainaflore Boisson de Superdiet, pendant 10 jours : un bouchon doseur dans unv erre d’eau, 500mL, 20€, ou Drainaflore Ampoule, 30 ampoules, 20€.
  • Pour un vrai coup de fouet, ces capsules pleines de minéraux, de vitamines et de bioflavonoïdes d’agrumes. Complexe Totale Détox de Fushi, trois capsules par jour avec un verre d’eau. 30€.
  • Le secret d’une détox réussie : l’hydratation ! Ca tombe bien, en 30 gouttes, on boirait l’équivalent de quinze tasses de thé vert… Water Booster du Dr Brandt.
  • Les 60 points de réflexologie de la détox sont stimulés par ce cocktail de vinaigre de mandarine et de tourmaline. Plus le patch blanchit, plus la détox est à l’oeuvre ! Patchs détoxifiants Total de Fushi.

Se détoxer sans s’affamer ni mettre sa santé en danger ? Les conseils du Dr Franck Gigon, phytothérapeute.

Quelqu’un en bonne santé pourrait-il jeûner sans risques ?
En jeûnant, on n’encrasse pas mais on ne décrasse pas non plus. Se priver complètement de nourriture fait fondre les muscles, chuter les défenses immunitaires, donc baisser la capacité de cicatrisation et de lutte contre les infections. Certaines personnes vont être en hypoglycémie et avoir un comportement alimentaire pulsionnel…vers les sucres rapides !

La détox, c’est différent ?

Il n’est pas question de s’affamer mais de se nourrir différemment. On garde les protéines pour nourrir ses muscles et son cerveau. Pour le drainage des reins, on utilise le bouleau et, pour les intestins, les fibres (légumes verts), aux effets laxatifs. On boit 1.5 L d’eau par jour. Et on n’oublie pas l’essentiel : se reposer et respecter son cycle de sommeil pour être en phase de récupération maximale. A faire une dizaine de jours aux changements de saison ou après trop d’excès.  »


Eviter la mauvaise haleine avec du persil

Quoi de plus désagréable qu’une mauvaise haleine ?
Si vous avez des problèmes d’haleine, renoncez au chewing-gum et préférez plutôt lepersil.
Les vertus du persil sur l’haleine sont connues depuis des millénaires. Les Romains s’en servaient déjà pour masquer l’odeur de l’alcool.

Ce dernier contient de la chlorophylle qui pulvérise les mauvaises odeurs et vous donne une haleine fraiche.
Mâchez-en un brin jusqu’à ce que vous ne puissiez plus en supporter le goût.
Ou bien vous pouvez faire des bains de bouche :
Faire bouillir deux verres d’eau et y mettre à infuser quelques tiges de persil finement haché et trois clou de girofle.
Remuer cette préparation, laisser refroidir et filtrer. Utiliser cette préparation en bain de bouche ou en gargarisme.


 

 Les français et les pratiques sportives (les stats)


Les sports individuels, et en particulier la natation, dominent plus que jamais lapratique sportive en France. C’est ce que confirme une récente étude réalisée par Kantar Media sur le temps libre des Français dédié au sport. 92 % des sportifs se consacrent à des activités de type natation, randonnée, VTT, etc.

sport-français

À l’inverse, les sports collectifs ne concernent que 30 % des pratiquants ; le football ayant d’ailleurs moins d’adeptes que la musculation ou la pétanque !; les autresactivités comme le tennis (35 %), le rugby (27 %) ou le cyclisme (20 %) arrivant loin derrière.

La cosmétique Bio, pourquoi un tel succès ?


Les crèmes classiques contiennent-elles des substances toxiques ?

La polémique sur les cosmétiques concerne les parabens. Ce sont des conservateurs de synthèse qui empêche la prolifération des microbes dans les crèmes. Ils sont également employés dans plus de mille produits pharmaceutiques, ainsi que dans la conservation des aliments. Les soupçons concernant les parabens viennent d’une étude britannique menée par le professeur Darbre sur 20 femmes atteintes du cancer du sein. Cette étude révèle l’accumulation de parabens dans les tissus cancéreux. Mais cela ne signifie pas qu’ils soient à l’origine de la tumeur. En effet, cette étude ne comportait pas de groupe témoin pour comparer les résultats. Elle n’a pas non plus identifié la provenance des parabens.

cosmetique-bioPour Aril Pochet, du département de l’évaluation des produits cosmétiques de l’AFSSAPS (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé), « Aucune étude scientifique n’a démontré le lien entre l’utilisation de cosmétiques contenant des parabens et les cancers. » Mais l’agence « en profite pour effectuer une réévaluation de la sécurité de ces substances. » L’éthyl et le méthylparaben sont inoffensifs. Le propylparaben a également obtenu un avis favorable des scientifiques.

Est-il possible de les éviter dans nos crèmes ?

Les conservateurs chimiques jouent un rôle crucial dans les cosmétiques. Leur quantité dépend du type de texture et du type de contenants utilisés. « Plus un produit contient d’eau, plus le risque de développement microbien est élevé et plus la concentration de conservateurs est grande », précise Arila Pochet. Par ailleurs, une crème contenue dans un tube ou dans un flacon-pompe en contiendra moins que si elle est présentée dans un pot, largement ouvert dans lequel on plonge les doigts…

Qu’en est-il des sels d’aluminium ?

Ils sont utilisés dans les antiperspirants, c’est-à-dire les déodorants qui limitent la sudation. Mais ils représentent aujourd’hui la majeure partie du marché des déos. Selon Arila Pochet, la rumeur est infondée. Premièrement, parce que « l’on ne connaît pas les conséquences de l’exposition globale du corps à l’aluminium », qui est présent partout, et deuxièmement parce que l’on ne sait pas exactement « quelle concentration d’aluminium pénètre dans le corps » lors de l’application d’un antiperspirant.
(La communauté scientifique rejette actuellement toute toxicité de l’aluminium par voie cutanée.)

Existe-t-il d’autres substances chimiques sujettes à polémique ?

Les éthers de glycol sont des conservateurs, et sept de ces substances ont été interdites pour leur effets nocifs sur la reproduction. Mais elles n’étaient pratiquement plus utilisées dans les cosmétiques. Quatre autres catégories sont encore employées. Parmi elles, le phénoxyéthanol, dont la concentration est limitée à 1%. Après évaluation, il ne suscite pas l’inquiétude des scientifiques. Les trois autres, dont la concentration est, elle aussi, limitée, sont utilisées dans les teintures pour cheveux.

Les cosmétiques sont-ils surveillés par les autorités ?

Toutes les substances chimiques précédemment évoquées font l’objet d’une grande vigilance. Au niveau européen, la directive « cosmétique » de 1976 est régulièrement amendée en fonction des études menées dans ce domaine. La dernière modification de septembre 2003 impose la mention apparente d’une date limite de consommation, qui permet de lutter contre les risques de prolifération bactérienne, et informe sur l’éventuelle inefficacité du produit au-delà de cette date. Elle impose aussi une plus grande transparence sur sa composition. Les ingrédients sont désormais notés par ordre décroissant de masse. C’est-à-dire que le premier ingrédient cité dans la liste est celui dont la présence est la plus importante.

Les cosmétiques bio évitent-ils les problèmes ?

Certaines personnes sont allergiques aux parabens ou à d’autres substances chimiques, même si, « comparé à la quantité utilisée dans les cosmétiques, le taux de réactioons allergiques est faible », précise le docteur Rousseau, dermatologue à Bordeaux. Elles peuvent donc se tourner vers les cosmétiques bio. Mais attention ! Les substances naturelles ne sont pas forcément meilleures. D’une part, certaines plantes comme le sojat ont une activité hormonale qui peut poser problème. D’autre part, elles peuvent, elles aussi, être allergisantes.

Comment les crèmes bio sont-elles fabriquées ?

En France, les cosmétiques bio sont labellisés par Ecocert, qui garantit que les matières premières ont été cultivées selon les règles de l’agriculture biologique. L’utilisation deconservateurs naturels est obligatoire. Ils sont moins efficaces que les chimiques, ce qui rend les produits plus fragiles. Il vaut donc mieux les conserver dans un endroit frais et sec et préférer les flacons-pompes et les pots de petite taille.

Les cosmétiques bio sont-ils plus fiables ?

Comme les autres cosmétiques, les cosmétiques bio sont très contrôlés et doivent soumettre un dossier à l’AFSSAPS. L’organisme Ecocert décerne deux labels différents en fonction du taux d’ingrédients biologiques dans le produit. Le label « Eco » garantit que 95% des ingrédients sont naturels, au moins 50% issus de l’agriculture bilologique, et que 5% du produit fini est bio. Le label « Bio » garantit que 95% des ingrédients sont d’origine naturelle, 95% issus de l’agriculture biologique et que 10% du produit fini est bio. Et, bien sûr, ils ne doivent pas contenir de parfum, de colorant ou de conservateurs de synthèse, ni de dérivés du pétrole.

Les cosmétiques bio sont-ils plus chers ?

Les cosmétiques bio ne sont pas beaucoup plus chers que les cosmétiques traditionnels. La différence de prix vient du mode de production plus coûteux. En outre, le volume de production des cosmétiques bio étant relativement faible, les prix ne peuvent pas être aussi bon marché que pour les grandes marques.

 

 Des capsules anti-gueule de bois pour les fêtardes


J’ai eu l’occasion récemment de recevoir un nouveau produit vendu en pharmacieprénommé  »After-Effect » de la marque Deenox.

Il s’agit d’un produit qui a pour cible les jeunes actifs qui ne dorment pas beaucoup et abusent parfois de soirées arrosées ! Et oui, After-Effect est un complément alimentaire « anti-gueule de bois » il contient des actifs d’origine naturelle ainsi que de vitamines.
Pour ceux qui connaissent des lendemains difficiles suite à un abus d’alcool, ce produit est fait pour vous !

Comment utiliser After-Effect ?

Les capsules After-Effect doivent être prisent avant et après une consommation d’alcool, cela est indiqué très clairement sur le très joli packaging du produit : 3 capsules aux alentours du premier verre et 2 capsules au coucher.

after-effect-deenox

Des tests ont été effectués sur 103 jeunes âgés de 25 à 40 ans ayant utilisé After-Effect la veille, voici les résultats :

  • sensation globale de gueule de bois réduite de 62%
  • sensation de soif réduite de 40%
  • difficulté de concentration réduite de 61%
  • fatigue du lendemain réduite de 38%
  • inconfort digestif réduit de 65%

Mon test personnel d’After-Effect

Je ne suis pas un grande consommatrice d’alcool cependant il m’arrive de boire de temps en temps mais pas de manière abusive. Lors de ma dernière soirée j’ai pas hésité à tester ce produit en respectant les conseils d’utilisation. Résultat des courses, je ne sais pas si c’est psychologique mais j’avais la forme le lendemain ! je n’avais pas de « restes » de ma soirée alcoolisé. Conclusion, si vous n’êtes pas une grande alcoolique comme moi, ce produit est fait pour vous, pour ceux qui se mettent une « grosse mine » je ne peux pas vous dire si e produit est efficace, dans tous les cas, n’oublions pas que l’abus d’alcool est déconseillé et mauvais pour la santé.

Que faire contre les règles douloureuses ?

Quelques conseils pour tenter de lutter contre les règles douloureuses :

- Avoir une vie saine : bien dormir, se reposer lorsque les douleurs sont importantes
- Ne pas prendre des médicaments à base d’acide acétylsalicylique (Aspirine…) car ils fluidifient le sang et favorisent donc le saignement.
- La prise de la pilule peut diminuer favorablement les douleurs lors des règles.
- Il faut éviter certaines boissons : café, alcool
- Favoriser les aliments riches en oméga 3, magnésium et vitamine E
- Éviter le tabac
- Boire au moins 1,5 litres d’eau par jour. A préférer pauvre en sodium, pour éviter la gonflette, et riche en calcium, type Vittel ou Courmayeur
- Consommer des produits laitiers (1200mg de calcium au quotidien diminuent les symptômes de moitié)

Quels traitements contre les règles douloureuses ?

Le traitement est en règle générale limité à la prise d’anti-inflammatoires, d’antispasmodiques ou d’analgésiques qui permettent de soulager les douleurs. Prendre un bain chaud, appliquer une bouillotte sur le bas ventre, ou à pratiquer quelques exercices de relaxation permettent du lutter efficacement contre les crampes et les spasmes.

Il est possible de prendre de la menthe poivrée pour lutter contre les douleurs : 1 cuillère à soupe de feuilles séchées infusées 10 min dans 15 cl d’eau bouillante, à prendre trois fois par jour après les repas pendant les règles. 

Les fruits de l’automne : le plein de vitamines et d’oligo-éléments


Après les fruits hydratants de l’été, peu énergétiques mais parfaitement adaptés aux températures, arrivent des produits plus roboratifs qui nous aideront à passer les premiers froids avec succès.

 

La Pomme. Riche en fibres, en minéraux et en vitamines, la pomme se mange de préférence avec la peau, sous laquelle serait stockée une grande partie des nutriments. Cuite, son apport en vitamines est moindre.

La Poire. Choisissez-la plutôt verte pour qu’elle arrive à maturité chez vous à l’air libre.

Le Raisin. Finie la saison du prima, du cardinal et du lival (août) ! L’automne apporte le chasselas ou le centennial dans la gamme des raisins blancs, mais aussi
le muscat de Hambourg, l’alphonse lavallée ou le muscat du Ventoux pour les raisins noirs. Le raisin, surtout le noir, est riche en antioxydants.

La Figue. Epluchée ou avec la peau, crue, cuite ou séchée, la figue est fortement dotée en fibres, en minéraux, en oligo-éléments et en vitamine B3. Pour vous assurer de sa maturité, choisissez-la plutôt souple, avec une queue plus dure.

La Noisette. Très énergétique, la noisette contient une grande quantité d’acides gras insaturés et de magnésium. Pensez à vérifier que sa coque est bien pleine en secouant le fruit et qu’aucune trace (trous ou fentes) n’abîme son enveloppe de protection.

La Châtaigne. Très énergétique, la châtaigne est riche en fibres, en vitamine B, enpotassium, en fer et en magnésium. Pour bien la choisir, prenez la plus lourde et conservez-la au réfrigérateur. 

Produits laitiers : leurs bienfaits, leurs dangers


Tout le monde a encore en tête les publicités destinées à vanter les bienfaits des produits laitiers. Aujourd’hui, les spécialistes sont divisés sur nos besoins en laitages. Explications.

Récemment la consommation de laitages en général fait l’objet de sérieuses critiques sanitaires, après avoir été vantée comme une solution miraculeuse contre de nombreux maux, notamment l’ostéoporose. Mais entre thuriféraires et détracteurs, à qui se fier ?
Pour les autorités sanitaires françaises, cela a longtemps été un credo : les produits laitiers sont une source importante de calcium, un élément indispensable à l’entretien des os. Ils seraient incontournables dans l’alimentation des enfants, afin de leur garantir une croissance optimale, et très importants pour l’adulte et les personnes âgées, à qui ils permettraient de maintenir une bonne calcification osseuse. Ainsi, la plupart des nutritionnistes s’entendent pour affirmer que les laitages doivent être consommés quotidiennement, et vont même jusqu’à prôner la prise d’un laitage à chaque repas.

A l’opposé, certains nutritionnistes comme Thierry Souccar, auteur de Lait, mensonges et propagande soutiennent que la plupart des laitages, acidifiants, favorisent la fuite du calcium. Ils démontrent ainsi que les laitages ne sont pas, comme le laisse entendre une idée reçue, l’arme fatale antiostéoporose. Et que, au contraire, «au niveau auxquels ils sont officiellement conseillés – trois à quatre par jour –, les laitages peuvent favoriser les maladies cardiovasculaires, le diabète, le cancer de la prostate».

Cependant, l’Académie nationale de médecine, en accord avec l’OMS, a rappelé en avril 2008 l’importance du calcium issu des produits laitiers dans notre alimentation. Le débat reste donc ouvert ! 

Les différents usages des huiles essentielles

 

La suite de l’article sur les bienfaits des huiles essentielles… voici maintenant quelques exemples d’utilisation de ces huiles :

Pour le bain. Pour vous détendre (lavande, marjolaine) ou vous tonifier (orange, romarin), versez quelques gouttes de l’huile essentielle de votre choix dans l’eau du bain. N’oubliez pas d’ajouter un dispersant (Solubol ou Disper) pour que l’huile se mélange à l’eau.

Pour les massages. Contre les douleurs musculaires, pensez aux huiles essentielles de genièvremarjolainepinbouleau ou romarin.

Pour soigner les torticolis. 2 gouttes de petit grain bigaradier, 2 gouttes de romarin officinal et 10 gouttes d’huile végétale de noisette pour un massage de la nuque et des trapèzes trois fois par jour.

Pour la cuisine. Diluez toujours quelques gouttes d’huiles essentielles parfumées avec une huile végétale douce, par exemple. Attention au dosage ! Au maximum une goutte par personne et par plat. Et essayez les huiles essentielles exotiques à la citronnelle, à la muscade ou au curcuma.


Nutrition : les vertus des argumes


L’automne est là et déjà les souvenirs ensoleillés des vacances s’estompent. Pour certains, les premiers coups de fatigue se font sentir. Stress, manque de sommeil et d’énergie… heureusement, les agrumes sont là et nous aident à franchir le cap.
Oranges, pamplemousses, citrons et bientôt clémentines réapparaissent sur les étals et leur prix est en baisse. Cela tombe bien, leurs vertus correspondent parfaitement aux besoins de l’organisme avant les premiers frimas.

Le plein de vitamine C

Le hasard a joué un grand rôle dans la découverte des propriétés de la vitamine C. En effet, pendant des siècles, les marins au long cours souffraient régulièrement de scorbut sans que l’on puisse expliquer l’origine du mal. En observant oranges-vitamin-c-agrumeque la consommation d’oranges ou de citrons éradiquait ce mal, la marine britannique en systématisa l’octroi à bord de ses bâtiments, jusqu’à
ce que les scientifiques identifient le lien de cause à effet puis constatent qu’à la différence de nombreux mammifères, l’homme n’a pas la capacité de synthétiser lui-même cettevitamine.

Des vertus précieuses

La première vertu des agrumes est la présence de la précieuse vitamine C dans la pulpe, même si d’autres produits frais en recèlent également (le persil, le kiwi, la goyave…). Celle-ci déclenche en effet des réactions complexes, dont les propriétés dépassent de loin le seul effet énergétiquegénéré par une meilleure assimilation du fer. Nécessaire à la synthèse du collagène (une protéine qui structure de nombreux tissus, dont les os) et de l’hémoglobine (nécessaire à l’oxygénation des tissus), la vitamine C est un précieux antioxydant qui agit efficacement contre le vieillissement des cellules. Voilà qui justifie une consommation régulière d’agrumes, si précieux… et si savoureux !

Les bienfaits de chaque argume

Le citron : au-delà de ses apports en vitamine C, il est réputé faciliter la circulation du sang, ce qui contribue à diminuer la pression artérielle et à régénérer les cellules. Le citron améliore la digestion et favorise l’éclat de la peau. Il est recommandé de le consommer en dehors des repas.
Le pamplemousse: sa richesse en fibres favorise un bon transit intestinal. Outre ses vertus désaltérantes, ce coupe-faim bien connu est efficace lorsque l’on suit un régime, à condition de ne pas le noyer sous le sucre.

La clémentine : riche en vitamines et en oligoéléments, elle contribue à renforcer les vaisseaux sanguins. Peu acide, elle peut être consommée facilement, en particulier par les enfants. Elle contient également du magnésium et du fer. 

Alimentation : les bienfaits du miel


Apprécié pour son goût sucré, parfois piquant, sa texture à la fois épaisse et douce, le miel plaît aussi pour ses vertus thérapeutiques.

Sombre ou clair, coulant ou résistant aux coups de cuillère des gourmands, le miel se récolte depuis l’Antiquité. Utilisé pendant longtemps comme un médicament pour soigner les troubles digestifs, les états grippaux ou encore pour accélérer la cicatrisation, le miel fut aussi le premier morceau de sucre des Européens avant la découverte du sucre de canne et de betterave.

miel-bienfaits-vertusLes différents miels

Comme vin et fromage, le miel se décline en diverses saveurs et consistances. Le premier critère de sélection sera donc sa provenance. Les abeilles le produisent a partir du nectar de fleurs ou du miellat de pucerons, récolté notamment sur les arbres (sapin et chêne). De ces plantes naissent différentes textures et couleurs. Le miel d’acacia est ainsi connu pour sa belle fluidité, celui de sapin pour sa couleur brune et sa saveur «résinée», riche en oligoéléments, tandis qu’une pâte épaisse, presque blanche, caractérise le miel de lavande. «De montagne» (Vosges, Pyrénées…), il présente un aspect crémeux et une couleur jaune ou ambrée. Quant au miel de romarin, il se distingue par sa couleur claire et sa texture liquide.
Les apiculteurs exploitent aussi le pollen et la gelée royale, autres richesses tirées des ruches. Très prisées, ces denrées sont pourtant menacées par la disparition des abeilles, constatée depuis une dizaine d’années, notamment en France. La production nationale de miel était en effet de 33 000 tonnes en 1995. En 2008, elle ne s’élevait plus qu’à 20 000 tonnes.

Les qualités nutritionnelles du miels

Sa principale caractéristique, c’est un pouvoir sucrant supérieur pour moins de glucides. 100 % naturel, le miel est fabriqué sans addition d’eau (il en contient déjà 20 %), d’arômes ou de substances chimiques. Plus «sucrant» que le sucre qu’on utilise dans les yaourts ou les gâteaux, le miel est aussi moins calorique, puisqu’il contient 75 % de glucides contre 100 % pour le sucre. Soit 60 calories pour 20 grammes de miel, contre 80 calories pour 20 grammes de sucre… le miel contient divers sels minéraux et oligoéléments.

Les vertus thérapeutiques du miel

Rien n’est prouvé scientifiquement. La diminution du mal de gorge par le miel n’est pas démontrée, par exemple. Ce qui est sûr, c’est qu’il est très digeste (davantage que le sucre) et donc conseillé pour les troubles digestifs. Par ailleurs, le miel aide à fixer les sels minéraux tels que le calcium, le magnésium, ou le phosphore, ce qui est bénéfique pour la flore intestinale.

Couleur et consistance du miel : des critères de choix

Plus un miel est foncé, plus il est corsé et riche en minéraux. Plus un miel est liquide, plus il est riche en fructose, comme le miel d’acacia. 

Les secrets de l’huile d’argan : toutes ses vertus

La région de Souss, au sud du Maroc, possède plusieurs richesses naturelles dont on cite l’huile d’argan. Elle est utilisée depuis des siècles par les femmes berbères. Alors quels sont les bienfaits d’huile argan ? Et quels sont ses multiples usages ? 


L’huile d’Argan et ses vertus alimentaires

L’huile d’argan est utilisée dans l’alimentation car son petit goût d’amande et de noisette (dû à une légère torréfaction qui lui donne aussi sa couleur plus foncée) rehausse grandement la saveur des plats, comme par exemple le couscous, les poissons, les vinaigrettes, « Amlou » qui est une recette berbère très connue à Souss, etc.
Selon les résultats des recherches scientifiques, l’huile d’argan a des propriétés nutritives et diététiques supérieures à celles de l’huilehuile-argan-bienfaits-vertus d’olive extra vierge. Elle agit en tant que coupe-faim au repas du matin.

Cette huile regorge de composants très précieux pour obtenir un bon équilibre alimentaire. Elle est ainsi riche en acides gras insaturés : présents à hauteur de 80 %, de type oléique linoléique (oméga 9 et oméga 6), ces acides, absents du corps humain à l’état naturel, permettent de lutter contre le mauvais cholestérol. Avec une teneur de 70,2 mg pour 100 g, l’huile d’argan est aussi l’un des aliments les plus riches en vitamine E, après l’huile de germe de blé. Une caractéristique à prendre en compte, puisque cette vitamine, appelée aussi «vitamine de la vie», évite le vieillissement accéléré des cellules (antioxydant), protège les globules rouges et aurait des effets bénéfiques sur la fertilité masculine.

Elle réduit aussi l’hyper tension, les douleurs articulaires et rhumatismales.
L’huile argan stimule les capacités cérébrales et facilite aussi la digestion en augmentant la concentration de la pepsine dans le suc digestif.

L’huile d’Argan pour des massages relaxant

Depuis des siècles, les mères berbères ont pris l’habitude de faire des massages de bébés à l‘huile d’argan.
Et effectivement, des recherches scientifiques ont prouvés que cela permet d’établir une communication unique avec votre enfant pour mieux le connaître et pour mieux le comprendre. C’est un moment d’épanouissement respectif.

Il améliore aussi sa relaxation en calmant son système nerveux, et réduit la tension à l’heure du coucher et favorise son endormissement profond et paisible.

Le massage à l’huile d’argan permet aux nouveaux-nés une meilleure intégration du schéma corporel cela l’aidera sûrement à étirer ses muscles, à mobiliser ses articulations et à apprendre à coordonner ses mouvements.

L’huile d’Argan pour des soins de la peau

Pour les femmes, rien que le fait de masser le visage deux fois par semaine avec huile d’argan et de prendre une fois par semaine un bain de vapeur en massant tout le corps avec huile d’argan cela rendra votre peau jeune, nette et lisse.

L’huile argan est d’une couleur miel, elle est gorgée d’acides gras essentiels Oméga-3 Oméga-6 et de tocophérols (vitamine E), antioxydants. Donc elle est très utilisée en cosmétiques et très recommandée pour prévenir le dessèchement prématuré de la peau.
L’huile d’Argan est utilisée depuis toujours par les femmes berbères du sud marocain pour leurs soins corporels à cause de sa haute teneur en vitamine E.
Naturellement, elle re-dynamise la peau, l’hydrate, agit contre le dessèchement et le vieillissement de la peau. En soin de nuit, pour tous types de peau, L’huile d’Argan régénère la peau durant le sommeil et lutte contre le vieillissement cutané.

Dans la pharmacopée marocaine, on la recommande contre l’acné, les gerçures, les brûlures.

L’huile d’Argan pour des cheveux en bonne santé

L’huile d’argan, apporte de la brillance aux cheveux tout en leur redonnant leur douceur naturelle et soyeuse en l’appliquant 20 minutes avant le shampooing, sur toute la longue chevelure. Elle fortifie nourrie et revitalise le cuir chevelu.
Pour protéger vos cheveux des effets déshydratants des bains de soleil, de mer et du chlore, l’huile d’argan très efficace.

Quelques recettes à l’huile d’Argan

- Afin d’avoir une peau lisse, mettez quelques goûtes d’huile d’argan dans l’eau du bain.
- Pour nourrir et fortifier vos ongles, lavez bien les mains, trempez les ongles dans un mélange de jus de citron (facultatif) et une cuillère à café d’huile d’argan et plongez vos ongles dans le mélange pendant 15 minutes. Et n’hésitez pas à renouveler l’action au moins une fois par semaine.
- Pour rendre votre peau hydratante et plus douce, appliquez l’huile d’argan sur l’ensemble du cou et du visage et laissez reposer pendant 15 minutes. Terminez le soin en enlevant l’excès d’huile d’argan à l’aide d’un coton imbibé d’eau de fleur d’oranger ou d’eau de rose.
- Pour que votre chevelure retrouve leur éclat et leur brillance, répartissez l’huile argan sur l’ensemble de la chevelure de la racine jusqu’aux pointes, massez doucement, brossez délicatement vos cheveux à fin de bien répartir l’huile d’argan, enveloppez-les dans une serviette chaude et laissez reposer environ 20 minutes. Si le temps vous manque, vous pouvez réduire le temps de repos en chauffant vos cheveux maintenus dans la serviette avec un sèche-cheveux et pour finir lavez vos cheveux avec votre shampooing habituel. Pour terminer, déposez quelques gouttes d’huile d’argan sur vos doigts et malaxez les pointes pour que votre chevelure apparaissent soyeuse, chatoyante et gonflée. Si vos cheveux sont secs, déposez en petite quantité d’huile d’argan sur votre brosse à cheveux.

Combien coûte l’huile Argan ?

L’huile d’argan aurait donc toutes les vertus : nourrissante, rajeunissante et protectrice. Autant d’effets que l’on ne peut renier mais qui en font l’huile la plus chère du marché actuellement, ce qui génère des contrefaçons. Tous les professionnels le disent : il faut se méfier des huiles d’argan bon marché, souvent frelatées ou produites à partir d’amandes prélevées dans le crottin des chèvres qui les ont absorbées et digérées. Dès lors, même s’il faut en restreindre l’utilisation, mieux vaut payer le prix fort (environ 170 euros le litre) pour être certain de la qualité de l’huile achetée et de ses effets.

Jêuner pour une meilleure hygiène de vie


N’essayez pas de le pratiquer comme un régime : vous perdrez certes plusieurs kilos en quelques semaines, mais ils reviendront assez vite après la fin du jeûne, du moins s’il n’est pas suivi d’une alimentation adéquate.

Qu’est-ce que le jeûne ?

C’est une privation de toute alimentation. Plusieurs jours à ne prendre aucune nourriture et à ne boire que de l’eau. Les effets vont varier en fonction du type de jeûne effectué. Si les débuts sont durs, la faim disparaît généralement au bout de deux ou trois jours.

Des visées thérapeutiques

Le jeûne court (24 à 48 heures) entraîne un repos organique suivi généralement d’un rééquilibrage des fonctions naturelles, d’une baisse de l’appétit et des besoins en excitants, qui permettent de tenir facilement une bonne hygiène de vie le reste de la semaine.
Quand le jeûne s’allonge et dure une semaine, une perte de poids s’ajoute à ces effets. Le jeûne de longue durée (plus d’une semaine) est clairement à visée thérapeutique. Sa pratique reste toutefois controversée.
Elle connaît peu de partisans en France, mais dans de nombreux pays, il existe des cliniques spécialisées. Si cela vous intéresse, renseignez- vous au préalable sur le sérieux de ces centres : attention aux charlatans ou aux dérives sectaires. Dès que l’organisme a fini la digestion du dernier repas et réparti les nutriments, commence un processus de consommation des réserves pendant que les cellules des tissus diminuent pour céder une partie de leur contenu. L’organisme consomme le glucose dont les réserves énergétiques s’épuisent vite, les protéines cèdent des acides aminés. Les réserves graisseuses baissent. Le corps se met ensuite au repos et consomme ses excédents en glycogène. Ce n’est qu’ensuite que le jeûne provoque une digestion interne de nombreux éléments cellulaires dont l’organisme se trouve alors allégé. Par cet allégement cellulaire, il soignerait ainsi les rhumatismes, traiterait l’hypertension, améliorerait la qualité du sommeil et contribuerait au traitement de la pancréatite aiguë. Il serait aussi excellent pour prévenir des risques de cancer. Quoi qu’il en soit, pas question d’entamer un jeûne sans avoir consulté son médecin.

Les précautions à prendre avant de jêuner

Le jeûne est une privation de nourriture. Mais il faut au contraire boire beaucoup d’eau pendant toute la durée du jeûne. L’organisme a aussi besoin d’être ménagé face à ces changements : l’alimentation des jours précédents doit être réduite progressivement. De la même manière, un jeûne ne s’arrête pas brutalement et il faut revenir à une alimentation normale graduellement. Avant de décider d’une abstinence complète ou partielle, il est recommandé de vérifier son état de santé auprès d’un médecin, particulièrement pour les personnes sous médication. Si être maigre n’est pas une contre-indication, en revanche le diabète est incompatible avec une telle pratique. Au-delà d’un jeûne de trois jours, il est nécessaire de se faire surveiller par un médecin. 

Ayez une bonne hygiène intime : tout ce qu’il faut savoir


Quels sont les bons réflexes pour une meilleure hygiène intime ?

L’hygiène intime, c’est bien sûr la toilette intime, mais la manière dont vous prenez soin de votre vulve (organes génitaux externes) au quotidien est aussi importante que ce moment même de la toilette. Votre intimité a besoin de douceur et de respect. Or, tous les détails importants pour garder votre vulve en bonne santé ne sont pas toujours bien connus.

Prendre soin de sa vulve, c’est aussi prendre soin de son vagin

Si vous maltraitez votre vulve, votre vagin en souffrira lui aussi et donc de toute évidence, votre sexualité. Car la flore vestibulaire (le vestibule est l’espace entre les petites lèvres) est quasiment identique à la flore vaginale et « tout ce qui est de nature à influer sur la flore vestibulaire peut agir également sur la flore vaginale ». L’état de bien-être ou de mal-être de la vulve a donc un impact très important sur le climat vaginal interne.

Les bons réflexes pour prendre soin de sa vulve

La zone sexuelle vulvaire nécessite donc uniquement une toilette externe avec du savon au PH neutre. Mais cela ne suffit pas pour offrir le maximum de confort à votre corps. Certaines habitudes peuvent agresser votre vulve, sans forcément que vous en ayez conscience. Elles peuvent être à l’origine des irritations chroniques, des infections, desmycoses, des douleurs pendant les relations sexuelles… Le premier ennemi de votrevulve, c’est le protège-slip.
Il augmente de manière considérable les mycoses et infections vaginales s’il est porté au quotidien. Quelle est la raison de cet effet négatif ? C’est que le protège-slip assèche la vulve en permanence. Or, comme il s’agit d’une muqueuse, elle a besoin d’humidité pour que sa flore soit en équilibre. Et par contiguïté, l’atteinte externe de la flore vestibulaire atteint aussi l’intérieur du vagin.
Les tampons sont aussi un facteur agressif pour la zone sexuelle. Quand c’est possible, et pour les femmes sujettes aux irritations et infections, il faut leur préférer les serviettes hygiéniques. La lingerie synthétique et les strings sont aussi responsables d’un déséquilibre local, à cause de l’échauffement et de l’irritation provoquée par les frottements. Les pantalons moulants sont également un facteur négatif du confort vulvaire et augmentent le risque d’infections.

En conclusion pour une meilleure hygiène intime…

Au total, en cas d’irritation de la vulve ou d’infections fréquentes (mycoses ou vaginoses), il est bon de prendre de bonnes résolutions quant aux habitudes vestimentaires : éviter les protège-slips (changer de sous-vêtement dans la journée si cela semble insupportable), porter des slips en matières naturelles (coton, soie), préférer les serviettes aux tampons, fuir les pantalons moulants et … continuer à porter des collants ! Quant aux femmes qui n’ont jamais aucun souci gynécologique ou sexuel, il leur suffit de conserver leurs habitudes. En effet, certaines vulves sont plus fragiles que d’autres à tous ces facteurs.